Dirigé désormais par Pascal Affi N’guessan, le FPI dit ne pas être affecté par le départ de Laurent Gbagbo du parti. « Le FPI ne souffre pas de la scission ! Bien au contraire, il a souffert de la dissidence (…) Nous étions embourbés dans une crise sans nom qui a paralysé le parti », répond, droite dans ses bottes, Pierrette Bléhidé, vice-présidente, chargée de la communication et du marketing politique du parti, qui conduisait la délégation, composée également d’Alain Ayé Dogo et Urbain Zozoro. Et de renchérir : « Lorsque M. Laurent Gbagbo a dit qu’il partait du FPI pour créer un nouveau parti, ça été un soulagement. Nous n’en souffrons pas ! Bien au contraire, nous allons pouvoir clarifier désormais, les actions et activités du parti »...
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