Dans une déclaration dont L’AVENIR a eu copie, la présidente de l’association des femmes journalistes de Côte d’Ivoire, Marlyse Aimée Konan, monte au créneau pour que les coupables soient arrêtés et subissent la rigueur de la loi.
Ci-après l’intégralité de la déclaration
Nous avons été outrées et scandalisées d'apprendre le viol d'une institutrice à Sandégué, dans la région du Gontougo.
Indignées, nous condamnons avec toute notre énergie cet acte ignoble portant atteinte à l'intégrité et à la dignité de la femme.
Nous, femmes journalistes de Côte d'Ivoire, rappelons que le viol est un acte sévèrement puni par la loi, passible d'une peine de prison allant de 5 à 20 ans pour les cas de viol sur adulte et à vie pour les cas de viol sur enfants et personnes vulnérables.
Nous invitons les autorités compétentes à mettre tout en œuvre non seulement pour la protection des femmes, des enfants et des couches vulnérables mais aussi pour que les coupables soient arrêtés et subissent la rigueur de la loi.
Aussi, faut-il le souligner, les femmes journalistes de l'AFJCI, la voix des sans voix, se tiennent à la disposition de la population ivoirienne pour dénoncer tout acte ou tentative d'abus, de maltraitance ou de viol sur les femmes et les enfants.
La présidente de l'AFJCI, Marlyse KONAN