
Il faut dire la vérité », a-t-il indiqué. Citant comme preuve, la mise en place des tribunaux du commerce, mais surtout la résilience qu’a démontrée la Côte d’Ivoire après la Covid19. Là où bien d’économies ont sombré. « Les fondamentaux étant vraiment forts, je pense que l'économie a démarré rapidement démontrant que nous sommes une économie résiliente. Je pense que la croissance est bonne depuis que le président Ouattara est là. Et puis, au niveau macroéconomique, les chiffres sont bons. Les chiffres sont bons, parce qu’on a un taux de croissance de 8 %. Donc, de ce point de vue, ce qu'on appelle risque pays, il n’y a rien à dire.
Nous avons eu une bonne notation. D'ailleurs, je remercie le président Ouattara parce qu’il est le premier président à nous donner cette notation », a-t-il révélé. Pour cet observateur averti de la Finance et de la Banque, ces résultats obtenus au plan international, augurent de bonnes perspectives pour le pays, et se répercutent sur les charges de la dette. « Pour négocier les taux d’intérêt à faible taux, il faut avoir une notation internationale, puisque vous voulez emprunter au niveau international, les autres ne vous connaissent pas ; donc les agences de notations en général, les 03 sorcières comme on les appelle Moody’s, Fitch Ratings, standard et Poor’s, quand elles vous donnent une bonne notation, cela baisse les intentions des investisseurs et vous avez un taux d’intérêt très faible. Donc en la matière, le président Alassane Ouattara s’y connaît. C’est un grand financier, c’est une très bonne chose pour notre pays d’être noté. Ce sont aussi des signes qui montrent que le pays rentre dans la gouvernance mondiale, parce que les investisseurs mondiaux connaissent désormais la Côte d’Ivoire. C’est une bonne chose », a-t-il souligné.
Venance KOKORA