Du 8 au 15 octobre 2025, le Bénin, la Guinée, le Burkina Faso, la Sierra Leone, le Burundi, et possiblement le Ghana (en attente de confirmation), fouleront les pelouses ivoiriennes pour tenter de décrocher leur qualification. Le ministre a précisé que quatre des six stades récemment construits ou rénovés en Côte d'Ivoire seront mobilisés pour ces rencontres. « Il s'agit du Stade Félix Houphouët Boigny, du Stade Olympique Alassane Ouattara d'Ebimpé, du Stade Charles Konan Banny de Yamoussoukro et du Stade Laurent Pokou de San Pedro », a-t-il révélé.
Ce choix des nations africaines témoigne de l’excellence des infrastructures sportives ivoiriennes, bâties sous la vision du président Alassane Ouattara. « En construisant des infrastructures de dimension mondiale, le Chef de l'État entendait non seulement mettre à disposition de la jeunesse africaine des équipements de qualité, mais aussi contribuer à l’unité du continent et de ses peuples », a souligné Metch Silas.
Avant cette nouvelle vague de matchs, la Côte d'Ivoire avait déjà accueilli, au cours des 1ère et 2e fenêtres des éliminatoires en septembre 2024, les rencontres du Bénin et de la Guinée. Cette nouvelle phase éliminatoire renforce la position de la Côte d'Ivoire comme un hub sportif continental.
En plus des cinq nations citées, le Ghana pourrait rejoindre la liste, faisant de cet événement une sorte de "mini-CAN" avant l’heure, rassemblant sur le sol ivoirien neuf nations africaines : la Côte d’Ivoire, le Ghana, le Bénin, la Guinée, le Burkina Faso, la Sierra Leone, le Burundi, le Rwanda et l’Éthiopie.
Ainsi, au-delà de l’aspect compétitif, cette initiative symbolise un moment fort pour le football africain, célébrant l’esprit de fraternité et d’unité à travers le sport.
Olivier YEO