
Il a souligné deux faits cruciaux : tout d'abord, la commission de discipline avait clairement identifié une faute technique d’arbitrage, et ensuite, le commissaire au match s’est contredit dans ses rapports.
De plus, aucune équipe n’a apporté la preuve qu’elle avait quitté le terrain. Dans ce contexte, la décision logique aurait été de faire rejouer le match.
Par contre, au regard des textes de la faîtière, pour les matches Bingerville-OSA et Tchologo-ISCA (matchs interrompus du fait de l'une des équipes), il faut noter une ignorance flagrante des règles et procédures.
Il est donc important de suivre les directives de la Fédération avant d'entreprendre des actions qui peuvent nuire à leurs clubs.
En effet, en cas de faute technique d’arbitrage, le capitaine de l’équipe lésée doit suivre la procédure établie, sans quitter le terrain ou être contraint par son dirigeant à quitter le rectangle vert.
Par conséquent, les équipes qui enfreignent cette règle devront faire face à des sanctions sévères, incluant la perte par forfait du match et des amendes financières.
C'est le lieu de rappeler aux joueurs et/ou à leurs dirigeants que le fait de quitter le match est une grave violation des règles du jeu, et les équipes doivent en être pleinement conscientes.
Olivier YEO