Le nouveau visage du District du Zanzan sous le leadership du ministre d'État Kobenan Kouassi Adjoumani est un fait indiscutable au vu des actions de développement et du parcours héroïque, aussi bien dans l'arène politique nationale et régionale que la connaissance culturelle dont il ne cesse de faire montre, à l'occasion des grandes cérémonies multiples et multiformes. Le prince Brong, en la personne du ministre d'État Kobenan Kouassi Adjoumani, l'homme de paix, ne peut être mêlé à des forfaitures dont fait mention, cet individu, en ayant le seul but de porter atteinte à l'honorabilité de ‘‘l'Eléphant Blanc’’ du Gontougo, aimé et adulé au-delà de sa région d’origine. En tant que sociocritique et africaniste, nous dirons que l'intronisation d'un chef ou d'un roi répond à des exigences coutumières selon les pratiques successorales dont les principes sont déterminés et dont les anciens, les notables, porte-cannes, sont les dépositaires et garants de la pérennité de l'exercice du pouvoir, tel que légué par les ancêtres. Une chose est sûre : n'est pas roi qui veut, mais qui a le droit et qui peut régner pour la cohésion, la valorisation, mais surtout garantir la paix et la dignité d’un peuple. D'ailleurs, l'institutionnalisation du pouvoir coutumier par la mise en place de la Chambre des chefs et rois traditionnels par SEM Alassane Ouattara, Président de la République de Côte d’Ivoire, ne déroge pas à cette perspective du renforcement de la cohésion et de l'autorité des chefs coutumiers, désormais relais entre les populations et l'administration. Le ministre d’État Kobenan Kouassi Adjoumani n'a fait que remplir son devoir en qualité de représentant de la haute administration, et ce, en présence de plusieurs personnalités dont le représentant du Premier ministre Patrick Achi, chef du Gouvernement, du représentant du ministre de l'Intérieur et de la Sécurité, du représentant du ministre du tourisme, du corps préfectoral de la région du Gontougo, avec à sa tête, le Préfet de région, de sa Majesté le Roi des Brongs, du Roi de Bouna, des chefs de province du Royaume Brong, des guides religieux et l'ensemble des cadres du District du Zanzan, en vue de l'intronisation du chef central des Koulangos, Sa Majesté Dagbolo Lango II, à Dinaoudi le samedi 30 juillet 2022. Il ne pouvait en être autrement, car comme l'a si bien illustré, le premier président de la République de Côte d’Ivoire, « Un capitaine hors de l'eau, n'est plus un capitaine ». C'est une vérité irréfragable et l'on doit l'accepter comme telle. L'absence ou du moins, la fuite de l'ex-chef des Koulangos, Dagbolo Sayer 1er vers le Ghana voisin, avait créé un vide juridico-coutumier qu'il fallait combler. Pour rappel, ce chef qui devrait être le dernier rempart pour ses sujets, avait pris la poudre d’escampette pendant la crise post-électorale de 2011, abandonnant son peuple à son triste sort. Toutes les démarches menées par les gardiens du trône pour le faire revenir, sont restées sans suite. La nature ayant horreur du vide, l'intronisation d'un nouveau chef s’imposait à tous les Koulangos qui appelaient de tous leurs vœux, ladite intronisation, socle de leur identité culturelle, socio-politique et traditionnelle. Il faut le noter, l'Afrique n'est pas la Grande-Bretagne, et vice-versa. En plus, comparaison n'est pas raison. Chaque peuple a son organisation propre et ses principes. Le ministre d'État est certes, un prince brong, mais l'histoire nous enseigne que les brassages culturels ont eu un impact sur les relations entre les peuples. Ceci pour dire que le ministre d'État n'en demeure pas moins un Koulango de par ce brassage et les alliances dont il est le fruit, du fait de parents issus du peuple Koulango.
Il est le résultat d'un métissage, d'où sa maîtrise des traditions de ces deux peuples alliés, c'est-à-dire, les Brongs et les Koulangos. Il parle aussi bien la langue brong que le Koulango. Ces attaques diffamatoires contre sa personne ne peuvent prospérer davantage, car le vin de la légalité coutumière est tiré, il faut donc le boire. Le chef central des Koulangos Dagbolo Lango II est intronisé avec les bénédictions de l'administration, des rois et chefs traditionnels, des cadres et l'ensemble des populations du Zanzan comme en témoigne la forte mobilisation, le jour de l'intronisation. Il est judicieux de préciser que les chefs et rois ne sont, et ne peuvent être manipulés, dans la mesure où ils sont le trait d’union entre l'administration et les différentes localités dont ils ont la charge. Il faut donc éviter des interprétations erronées et malsaines comme le prétend cet individu qui ne parvient pas à faire la différence entre son parti politique et les affaires coutumières dans lesquelles il se fourre maladroitement le nez.
Sur le chapitre des infrastructures et des équipements de base, notre pseudo socio-anthropologue doit être atteint d’une cécité en phase terminale qui l’empêche de voir ce qui se passe dans sa région.
Sinon, dans le Gontougo, même les aveugles voient les nombreux chantiers en cours, notamment, le bitumage de l'axe Agnibilekro-Bondoukou, la construction de l'Université de Bondoukou, la construction de l'usine pour la transformation de la noix de cajou, le CAFOP, l'électrification et l’adduction en eau potable de la grande majorité des localités du Zanzan, etc. Tout porte à croire que cet historien du dimanche s'essaie à la politique du remue-ménage ou du moins, caractéristique d'un remue-méninge.
À l’observation des faits récriminatoires et diffamatoires évoqués par cet individu, signe de l'aboiement du détracteur de l'icône de toute une région, nous lui disons que la caravane passe et le chien aboie. Rien n'empêchera le ministre d'État Kobenan Kouassi Adjoumani de poursuivre ses actions de développement aux côtés de SEM Alassane Ouattara, Président de la République de Côte d’Ivoire qui prône la paix, la cohésion, la stabilité, l'union pour une Côte d'Ivoire solidaire et rassemblée.
Que cela soit tenu pour dit !