Dès son jeune âge, il révèle avoir côtoyé ces leaders dont le regretté feu Djéni Kobina, Ayé Ayé Alexandre, Malan Jean, Jean Badobré, Soumahoro Amadou, Diakité Coty, Sarassoro Hyacinthe et Leroux Hyacinthe qui se rassemblés « pour donner corps à une République de paix et de développement », le Rassemblement des Républicains (RDR).
Après une formation accrue à la Fondation Friedrich Naumann, il absorbe chaque leçon, chaque discours, chaque idéal pour devenir Chef de Cabinet du chef de file de l'opposition de l’époque, le président Alassane Ouattara
« J'ai grandi avec ces rêves. Devenu jeune leader, j'ai pris des engagements pour voir mes rêves se réaliser pour mon pays en devenant l’un des acteurs actifs de mon parti et des valeurs libérales » fait-il savoir.
L’ex-Président intérimaire du Bureau Exécutif National du Rassemblement des Jeunes Républicains, va assurer de haute au sommet de l’Etat aux côtés du Président de la République, SEM Alassane Ouattara une fois en étant même membre du Conseil National de Sécurité de Côte d'Ivoire, jusqu'en 2015.
Créer un think tank dédié à la promotion des politiques de développement
Sa formation de jeune libéral acquis à la fondation Friedrich Naumann lui permettra de créer la première organisation panafricaine des jeunes libéraux, l'Organisation de la Jeunesse Libérale Africaine (OJLA) dont il assure la Présidence jusqu’en 2007 avant de devenir membre du bureau de la Fédération International des Jeunes Libéraux (IFLRY).
Son rêve de créer un think tank dédié à la promotion des politiques de développement devient une réalité avec mise en place du Centre d’Etudes Prospectives (CEP), qu’il co-fonde avec certains de ses camarades.
Ce centre couvre l’ensemble des politiques économiques et sociales, notamment la transformation structurelle et l’industrialisation, les relations internationales, la paix et la cohésion sociale, la bonne gouvernance, l’accès aux services sociaux de base et la promotion de l’emploi décent, surtout pour les jeunes et les femmes.
« J'ai été jeune, j'ai grandi et je suis devenu adulte, mais je continue de croire que le libéralisme est la seule réponse crédible pour l'Afrique. Le libéralisme, est plus qu'une idéologie ; c'est la réponse vraie à nos aspirations les plus profondes. C'est la liberté économique qui peut créer un environnement de confiance pour l'investissement des entrepreneurs. Ce sont les libertés civiles et politiques qui nourrissent l'engagement citoyen et permettent à chaque individu de s'engager librement dans un parti politique ou une association, de s'exprimer, de partager ses opinions sans être inquiété. Ce sont les libertés de religions, d’opinions et de croyances qui fondent notre foi individuellement sans déranger les autres » a dit le ministre Sidi au cours de son discours.
Bâtir des institutions fortes
Il décide de continuer de porter les valeurs de son parti, le RDHP à l’international. Ainsi, au cours de l'année 2024, la Côte d'Ivoire va accueillir ainsi plusieurs évènements, entre autres: l'Atelier de Formation des Jeunes Leaders Africains de ALYF, le Congrès mondial de la Fédération Internationale des Jeunesses Libérales (IFLRY), l'Assemblée Générale du Réseau Libéral Africain et enfin le Sommet RENEWPAC, sommet annuel de rassemblement des leaders libéraux d'Europe, du Pacifique, d'Afrique et des Caraïbes (UE-ACP) pour discuter d'enjeux globaux et renforcer la coopération.
Aujourd’hui, il invite tous les jeunes leaders à prendre la relève avec enthousiasme et à contribuer activement au développement de la société. « Ensemble, bâtissons des institutions fortes, renforçons la gouvernance et créons un environnement où la liberté d'entreprendre et d'innover est le moteur du progrès.
Nous avons l'opportunité, et plus encore, la responsabilité, de modeler l'Afrique de demain. Un continent où la justice, l'équité et la prospérité sont accessibles à tous » lance-t-il pour conclure.
Joël DALLY