Économie

Banque mondiale/En visite en Côte d’Ivoire: Ajay Banga (candidat à la présidence) redéfinit ses priorités

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Le candidat au poste de la présidence de la BM, Ajay Banga (au c) est en Côte d’Ivoire dans le cadre d’une mission de travail. (Photo : DR) 
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La Côte d’Ivoire a accueilli dimanche 05 mars 2023, le candidat à la présidence de la Banque mondiale (BM), Ajay Banga. Il a, au cours d’une visite de projets engagés par l’institution financière internationale dans la commune populaire de Yopougon, redéfini ses priorités.

Ajay Banga, candidat à la présidence de la BM, a effectué mardi 7 mars 2023, une visite en Côte d’Ivoire, précisément sur le site du projet de transport, de distribution et d'accès dans la commune de Yopougon. « Je suis d'abord ici pour apprendre et je pense que la première retombée positive serait d’augmenter la connaissance que j'ai déjà de votre contexte. Et en fonction de toutes les données, des informations que j'aurais acquises concernant votre pays, si d'aventure je suis élu en tant que président (Ndr : Banque mondiale), je viendrai appliquer le fruit de tout ce que j'aurais acquis comme connaissance », a-t-il justifié. Pour Ajay Banga, la priorité, c'est la recherche de solutions pour améliorer la qualité de vie des populations des pays partenaires de la Banque mondiale, en palliant les effets néfastes de la pandémie de COVID-19, en créant des emplois, en promouvant l'entrepreneuriat. 

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« Ces points-là sont beaucoup plus importants que de regarder les partenariats qui pourraient fonctionner ou non. Notre travail est d'assurer le meilleur intérêt des parties de l'entrée avec lesquelles nous travaillons », a-t-il dit. Concernant la Côte d’Ivoire, l'ancien CEO de MasterCard, a indiqué y être pour discuter des aspects importants de ce projet engagé par la Banque mondiale tout en soulignant que "la compréhension du contexte actuel du pays" était au cœur de sa visite. Quant à la question d’un confrère sur l'influence de la Chine en Afrique, le candidat à la présidence de la BM a estimé que le rôle de la Banque mondiale n'était pas de briser des partenariats. La preuve, a-t-il évoqué, « on ne peut commencer un grand processus de développement en brisant les partenariats. Non. Nous pensons qu'on doit travailler avec des informations que nous avons sur le terrain actuellement ». En retour, les dirigeants de CI Energies ont énuméré des points qui nécessitent, à ce stade, une attention particulière de la Banque mondiale à l'intégration de l'aspect indemnisation dans le financement des futurs projets avec la banque mondiale, l'augmentation de la capacité de production, ainsi que la mise à niveau du réseau de transport et de distribution électrique.

VK

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