« Pour le Président Alassane Ouattara, « le vivre-ensemble », la cohésion sociale ne sont pas une option parmi tant d’autres, mais un impératif absolu pour consolider les bases d’une Côte d’Ivoire solidaire, plus forte et plus résiliente face aux fléaux des temps modernes », a indiqué Kobenan Kouassi Adjoumani, Ministre d'Etat, Ministre de l'Agriculture et du Développement Rural.
C’était le dimanche 27 mars 2022, à la clôture de la deuxième édition du Festival national de l'Afrique (Fena), au parc des sports de Treichville.
Réunis autour du thème : « Culture, tradition, facteur de solidarité, de cohésion sociale, de développement économique et touristique », Nana Abrafi-Koto Kyeremaa, Reine mère et présidente de la communauté ghanéenne vivant en Côte d’Ivoire et ses pairs de la sous-région ont démontré combien de fois l'initiative se veut être un instrument fédérateur. Mieux, de cohésion et de promotion culturelle pour les peuples d’Afrique à travers les vibrations des tambours sacrés.
Parrain de la cérémonie et représentant le Premier Ministre Patrick Achi, Adjoumani Kobenan a rappelé que cette démarche citoyenne « des frères et sœurs des pays frères de la CEDEAO, témoigne de leur parfaite intégration à la société ivoirienne.
Chose qui appui « votre attachement à la vision du Président de la République, SEM Alassane Ouattara, qui ne ménage aucun effort pour promouvoir une Côte d’Ivoire en paix, une nation ouverte, hospitalière où cohabitent en parfaite harmonie et où vivent en totale synergie toutes les communautés Ivoiriennes ou non, dans le respect de leurs différences », a-t-il soutenu en présence de Kouadio Konan Bertin, Ministre de la Réconciliation Nationale et de la Cohésion Sociale.
Notons que ce festival a vu la participation de plusieurs autorités culturelles venues du Ghana et des communautés étrangères vivant en Côte d'Ivoire, mais aussi et surtout la participation d'autorités administratives.
Riche en couleurs et en sons, la fête a tenu toutes ses promesses.
Olivier YEO