Au contraire, les deux personnalités partagent une longue histoire de collaboration, marquée par le respect mutuel et une vision commune pour le développement du football ivoirien. Depuis de nombreuses années, Jacques Anouma et Idriss Diallo ont travaillé de concert pour hisser le football ivoirien à un niveau international. Lorsque Jacques Anouma présidait la FIF, Yacine Idriss Diallo occupait le poste de vice-président, responsable du marketing et du sponsoring. Leur collaboration a permis à la Fédération de renforcer son image et de nouer des partenariats stratégiques, contribuant ainsi à la dynamique positive autour du football en Côte d’Ivoire. Leur complicité ne s’est jamais démentie au fil des années.
Les récentes allégations évoquant un « choc d’ambitions » entre les deux hommes, à l’approche des élections pour des postes au sein de la FIFA ou de la CAF, sont totalement erronées. Jacques Anouma, en tant que membre d'honneur de la FIF, n'a cessé d'apporter son soutien à son successeur. Si Yacine Idriss Diallo envisageait de briguer un siège dans les instances internationales, il est certain qu'il bénéficierait du soutien de son aîné, fidèle à son rôle de mentor et d’allié dans la promotion du football ivoirien sur la scène mondiale.
Il est regrettable que des médias, tels qu’Abidjan Sport, préfèrent se livrer à des spéculations sans fondement plutôt que de s’en tenir aux faits. Les suppositions autour d’une rivalité entre Diallo et Anouma sont le fruit de l’imagination de ceux qui cherchent à semer la discorde là où il n’y en a pas. En réalité, les deux hommes poursuivent ensemble un objectif commun : faire briller le football ivoirien.
L’idée même d’un antagonisme entre Jacques Anouma et Idriss Diallo ne tient pas. Les deux personnalités sont suffisamment mûres et responsables pour accorder leurs ambitions dans l’intérêt du football ivoirien, et non pour entrer en conflit. Ce prétendu « clash » n’existe que dans l’esprit des faiseurs de polémiques, des « marchands de crise » qui prospèrent en alimentant de fausses querelles.
Il est essentiel de rappeler que chaque Ivoirien devrait se réjouir de voir des représentants du pays aspirer à occuper des postes de prestige au sein des instances internationales du football, qu'il s'agisse de Jacques Anouma ou de Yacine Idriss Diallo. Au lieu de chercher à opposer ces deux figures respectées du football ivoirien, nous devrions les encourager dans leur quête de renforcer la position de la Côte d'Ivoire sur l'échiquier international.
Les spéculations autour d’un « clash » entre Diallo et Anouma relèvent davantage de la fiction que de la réalité. L’histoire montre que ces deux hommes, forts de leur complicité professionnelle et personnelle, partagent une vision commune : hisser la Côte d'Ivoire et son football vers de nouveaux sommets.
Olivier YEO