À l'hôtel des Éléphanteaux, dans la soirée du lundi 27 mai, accompagné du Colonel Koné Mamadou, 3e vice-président de la Fédération Ivoirienne de Football (FIF) en charge des équipes nationales de jeunes, le Ministre a transmis le soutien indéfectible du gouvernement et du peuple ivoirien aux jeunes Éléphants.
Le Ministre Metch a rappelé aux joueurs qu'ils représentent les espoirs et les rêves de leur nation. « Quand on parle de l'équipe nationale, c'est vous qui représentez notre pays. C'est vous que la nation regarde et appelle à accomplir le devoir », a-t-il proclamé.
Revenant sur leur parcours, le Ministre a reconnu les défis rencontrés mais a mis l'accent sur l'objectif ultime. « La fin d'une chose vaut mieux que son début. On peut perdre une bataille, mais j'ai gagné la guerre. Ce qui importe le plus, ce n'est pas de perdre une bataille, mais de gagner la guerre, et vous êtes partis pour gagner la guerre demain », a-t-il déclaré.
Le Ministre Metch a exprimé sa confiance dans la préparation morale de l'équipe, soutenue par leurs entraîneurs et l'ensemble du peuple ivoirien. « Vous avez les prières de tous les Ivoiriens, les encouragements du Président de la République, du Premier ministre, et de tout le gouvernement », les a-t-il assurés.
Abordant l'aspect tactique du jeu, le Ministre a conseillé aux joueurs de saisir chaque opportunité. « Ce qui a manqué, c'est la réussite devant les poteaux. Si vous avez l'occasion de frapper, ne tardez pas ; prenez votre tir », a-t-il exhorté, non sans avoir fait montre de son talent de footballeur.
Aux éléphanteaux , il a été on ne plus clair sur l'mportance de la décision rapide et de la vitesse pour exploiter les ouvertures.
Pour le Ministre Adjé Metch, l'avantage psychologique est important. Encourageant les joueurs à résister à toute intimidation de la part de leurs adversaires, le Ministre Adjé Silas Metch dit se préparer à recevoir la délégation avec le trophée.
« Quand je regarde vos visages, est-ce qu'on peut vous intimider ? Non », a-t-il déclaré, les incitant à puiser dans leur force intérieure et leur résilience.
Olivier Yeo, envoyé spécial au Ghana.
