Faits divers

Nigéria : le milliardaire Michael Usifo Ataga assassiné par sa maîtresse de 21 ans

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C’est une relation extraconjugale entre un milliardaire nigérian et une étudiante qui a tourné au drame. En effet, le milliardaire et patron la chaîne de télévision SuperTV, Michael Ataga, a été assassiné par sa jeune maîtresse du nom de Chidinma Adaora Ojukwu. Cette dernière qui a été arrêtée par les forces de l’ordre est passée aux aveux.

 

« Nous avons bu et fumé ensemble »

Selon les informations révélées par la presse nigériane, Michael Ataga et sa maîtresse se connaissaient depuis quelques temps. Au cours de la semaine dernière, ils ont choisi de se rencontrer pour avoir un moment de plaisir en privé, dans un quartier situé dans la ville de Lagos. Chidinma Adaora Ojukwu a confié aux policiers que Michael Ataga s’était montré violent, soulignant qu’elle était ivre et sous l’effet de stupéfiants. « Nous avons bu et fumé ensemble. On s’est bien amusés et ensuite, je suis allé chercher à manger. Le lendemain, il voulait faire l’amour, mais j’étais fatiguée. Et comme je refusais, il a commencé à me violenter. J’ai dû céder » a-t-elle d’abord déclaré avant d’ajouter : « Je n’étais pas contente de la première partie de sexe ». Par la suite, alors qu’elle fumait en regardant la télé, il est revenu vers elle. Chidinma lui a fait savoir qu’elle n’avait pas apprécié la façon dont il l’avait traitée la première fois.

 

Elle pouvait prendre le montant qu’elle voulait

Elle lui aurait donc dit : « Tout ça pour quoi ? Tu ne me donnes rien. Tu n’es pas prêt à m’aider, mais tu préfères jouer avec moi ». C’est à ce moment que l’homme est devenu violent. Il a donc sorti sa carte bancaire et lui a dit qu’elle pouvait prendre le montant qu’elle voulait. « Il m’a donné le code. Mais en même temps, il est devenu violent. Il voulait me prendre encore. J’ai commencé à me défendre. Et, à un moment donné, il a cogné la tête contre le mur  et j’ai riposté. Il s’est mis à m’étouffer. J’étais contre le placard de la cuisine. Là, j’ai allongé mon bras et j’ai saisi un couteau t» a-t-elle confié, soulignant que c’est là qu’elle a commis l’irréparable.

Lebanco

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