
Et cela en vue d’inviter à une prise de conscience sur les dangers liés aux maladies endémiques. « Petit virus au pays de Corona » (tome 1) est un conte à épisodes graduels. Il comprend des péripéties faites d'enlèvements à rebondissements empreints de suspens. Il va émerveiller le commun des mortels dans une sorte de pédagogie, le plonger dans un enseignement scientifique, d'ordre médical, de santé publique, le sensibiliser à un changement de comportement, afin qu'il prenne conscience des dangers inhérents aux maladies endémiques et leur transmission vectoriel. Car il vaut mieux prévenir que guérir », affirme l’auteur.
Comprenant 83 pages, l’ouvrage est composé de 8 chapitres qui suivent de manière graduelle, à savoir : La genèse ; Le village de Djânôbô ; La contrée des éléphants ; Le village du sommeil ; La rivière du golfe de Guinée ; Le petit ruisseau rouge ; Le hameau des aveugles et Le territoire aurifère. « L’idée m'est venue d'écrire pour léguer un héritage à la prospérité. Et ce tome 1 « Petit virus au pays de Corona » parle de la santé, notamment comment sensibiliser nos parents, la communauté, la société pour qu'ils soient instruits sur la différence, le comment et le pourquoi des maladies », confie Dr Paul Bouah-Obodji.
Passionné d’écriture, ce natif d'Agboville a à son actif deux ouvrages hormis le tome 1 de « Petit virus au pays de Corona », à savoir deux recueils de poèmes « Vie future » et « Sage mère Guenon ».
Il a obtenu son doctorat en 1990 à l’université Félix Houphouët-Boigny de Cocody en option Santé publique, après avoir soutenu une thèse autour du thème : « Les complications neurologiques de la rougeole en phase aiguë ».
Aristide Otré