C’est le cas du tradipraticien Tanoh Adou Albert. L’homme, qui exerce depuis une quarantaine d’années, a vu deux de ces produits obtenir un certificat. En effet, la prestigieuse université des sciences et technologies Kwamé Nkrumah de Koumassi au Ghana a certifié récemment deux de ses produits.
Il n’y a aucun micro-organisme pathogène dans le produit.
A savoir le SARENTA et le VINTA. Concernant le SARENTA, le Pr Isaac Kingsley Amponsah, le chef du département de phytothérapie, analyste de la qualité, a mentionné « Les propriétés phytochimiques et physicochimiques du produit ont été établies à des fins de contrôle qualité. Le produit s’est avéré sûr sur la base des tests de toxicité aiguë et subaigüe effectués. Il n’y a aucun micro-organisme pathogène dans le produit. L’analyse des métaux toxiques a révélé que tous les niveaux se situaient dans la plage recommandée par l’OMS pour ces métaux. Le matériau d’emballage primaire du produit doit être modifié ».
C’est le même constat, qu’il a fait pour ce qui concerne le VINTA. Le Sarenta est reconnu efficace par des médecins, biologistes et de nombreux patients, dans le traitement du diabète avec un maintien en baisse permanente de la glycémie. Il en est de même de la tension artérielle dont il assure une bonne régulation. Tout comme il débarrasse le sang et les vaisseaux à travers lesquels il coule de tous déchets, pour ainsi favoriser une bonne circulation sanguine. Le Sarenta est aussi réputé efficace dans le traitement de la colopathie fonctionnelle, les hépatites, la fièvre typhoïde, le paludisme, ainsi que la prostatite.
Quant au Vinta, il est recommandé pour le traitement de l’anémie, de l’insomnie, des règles douloureuses et pour la revitalisation de l’organisme chez les convalescents.
Tanoh Adou Albert appréhende l’obtention de deux certificats comme un effort à poursuivre dans ce sens, et à s’améliorer. Il ne manque pas de saluer ses collaborateurs pour le travail qu’ils abattent à ses côtés. Le tradipraticien a en encore les oreilles tendues vers l’université des sciences et technologies Kwamé Nkrumah de Koumassi (Ghana), où six autres de ses produits sont en train d’être analysés
Aristide Otre