La côte d"ivoire vient d’enregistrer l’entrée de nouveaux sites au patrimoine de l’Unesco. Il s’agit des mosquées de style soudanais du nord du pays. Notamment les mythiques mosquées de Tengréla, Kouto, Sorobango, Samatiguila, M’Bengué, Kong et Kaouara . Publiées le mardi 27 Juillet 2021, sur le site web de l’Organisation spécialisée des Nations Unies, L’Avenir vous livre le secret que cachent ces mosquées et qui a favorisé leur inscription au patrimoine mondial.
Les huit petites mosquées entourées à Tengréla, Kouto, Sorobango, Samatiguila, M’Bengué, Kong et Kaouara sont caractérisées par une construction en terre, des charpentes en saillie, des contreforts verticaux couronnés de poteries ou d’œufs d’autruche, et par des minarets effilés. Elles présentent une interprétation d’un style architectural dont l’origine se situerait autour du XIVe siècle dans la ville de Djenné, qui faisait alors partie de l’empire du Mali et dont la prospérité provenait du commerce de l’or et du sel, à traverser le Sahara vers l’Afrique du Nord. C’est surtout à partir du XVIe siècle ce style s’régionsest vers le sud, des désertiques à la savane soudanaise, en adoptant des formes plus basses avec des contreforts plus solides, pour répondre au climat plus humide. Ces mosquées sont les mieux conservées sur les vingt qui ont subsisté en Côte d’Ivoire, sur plusieurs centaines qui existaient encore au début du XXe siècle. Le style soudanais caractéristique des mosquées, propre à la région de la savane de l’Afrique de l’Ouest, s’est développé entre les XVIIe et XIXe siècles, lorsque les marchands et les érudits se sont rapportés vers le sud à partir de l 'empire du Mali, prolongeant les routes commerciales transsahariennes jusque dans la zone boisée. Elles constituent des témoignages très importants du commerce transsaharien qui facilite l’expansion de l’islam et de la culture islamique et témoignent d’une fusion des formes architecturales islamiques et locales qui ont persisté au fil du temps. Le style soudanais caractéristique des mosquées, propre à la région de la savane de l’Afrique de l’Ouest, s’est développé entre les XVIIe et XIXe siècles, lorsque les marchands et les érudits se sont rapportés vers le sud à partir de l 'empire du Mali, prolongeant les routes commerciales transsahariennes jusque dans la zone boisée. Elles constituent des témoignages très importants du commerce transsaharien qui facilite l’expansion de l’islam et de la culture islamique et témoignent d’une fusion des formes architecturales islamiques et locales qui ont persisté au fil du temps. Le style soudanais caractéristique des mosquées, propre à la région de la savane de l’Afrique de l’Ouest, s’est développé entre les XVIIe et XIXe siècles, lorsque les marchands et les érudits se sont rapportés vers le sud à partir de l 'empire du Mali, prolongeant les routes commerciales transsahariennes jusque dans la zone boisée. Elles constituent des témoignages très importants du commerce transsaharien qui facilite l’expansion de l’islam et de la culture islamique et témoignent d’une fusion des formes architecturales islamiques et locales qui ont persisté au fil du temps. prolongeant les routes commerciales transsahariennes jusque dans la zone boisée. Elles constituent des témoignages très importants du commerce transsaharien qui facilite l’expansion de l’islam et de la culture islamique et témoignent d’une fusion des formes architecturales islamiques et locales qui ont persisté au fil du temps. prolongeant les routes commerciales transsahariennes jusque dans la zone boisée. Elles constituent des témoignages très importants du commerce transsaharien qui facilite l’expansion de l’islam et de la culture islamique et témoignent d’une fusion des formes architecturales islamiques et locales qui ont persisté au fil du temps.
Olivier Yeo avec L’Unesco