Plus de 80 tonnes de vivres offerts par le président Alassane Ouattara. Ce geste, qui intervient en pleine période de jeûne musulman et de carême chrétien, traduit une volonté forte du chef de l’État d’accompagner les populations dans ces moments de ferveur et de spiritualité.
C’est le ministre des Transports et maire de Bouaké, Amadou Koné, qui a procédé à la remise officielle des vivres aux bénéficiaires. Dans son discours, il a salué l’engagement constant du président de la République en faveur des Ivoiriens et a exhorté la population à lui témoigner sa reconnaissance à travers la prière. « Grâce au président Alassane Ouattara, notre pays connaît aujourd’hui la stabilité, qui est la clé de tout développement. Nous devons prier pour lui afin que Dieu continue de lui accorder sa grâce », a-t-il déclaré sous les acclamations des bénéficiaires.
Appel à la responsabilité et à la cohésion sociale
Profitant de cette rencontre, Amadou Koné a sensibilisé les responsables communautaires sur l’importance du maintien de la paix et de la cohésion sociale. Il a rappelé que Bouaké connaît une transformation remarquable grâce aux nombreux investissements en cours et que cette dynamique ne peut se poursuivre que dans un climat de sécurité et d’unité. « Bouaké devient de plus en plus attrayante et attractive. Nous devons tous être conscients de cette chance et travailler ensemble pour préserver cette évolution positive », a-t-il insisté.
Il a également invité les leaders religieux et communautaires à jouer pleinement leur rôle dans la promotion du vivre-ensemble, en évitant les divisions et en encourageant la tolérance et le dialogue entre les différentes confessions.
Des prières pour le président et les autorités ivoiriennes
En réponse à cet appel, les représentants du Forum des confessions religieuses ont élevé des prières et des bénédictions à l’endroit du président Alassane Ouattara, du gouvernement et des autorités locales. Ils ont exprimé leur gratitude pour cette marque d’attention et ont réaffirmé leur engagement à œuvrer pour un climat de paix et de fraternité à Bouaké.
Ernest Famin
